Poèmes et satires

tout ce trop plein d amour ou on est chez les outlaws vous etes sur

Bull un outlaws c'est un passionné
Ses enemies, il l'est broie sans pitié
Mais ne peut s'empecher malgré tout d'aimer

et oui on se refait pas mais j evite de montrer mes sentiments ca casse l image de barbare mais merci altair c est tres gentil

Bull le barbare sentimental, intéressant contraste.


A BoneBreaker76

Effectivement, j'ai considéré que la deuxième syllabe du mot "douze" pouvait être élidée. Je n'ai pas évoqué cette élision en tant que règle parce-qu'il s'agit d'une possibilité facultative. Dans ce troisième vers, si l'e muet de "douze" était compté, nous aurions un vers de douze pieds mais pas un alexandrin car, comme tu le soulignes justement, la césure est mal placée.


Cela dit, Pasqui n'a pas considéré ce troisième vers comme un alexandrin puisqu'elle a compté dix pieds. En fait je pense qu'elle a élidé la troisième syllabe du mot "mesurent" (à tort puisqu'elle ne se termine pas par un e muet) et la seconde syllabe du mot "douze" afin d'arriver à la même mesure que les deux premiers vers.

Ah oui, zut alors.

Rimeur ? j'en suis un maigre et ingrats sont les mots.
Dans mes vers plutôt denses, chacun de mes mots danse,
Mots sans reconnaissance, bien que de bonne essence,
Mots en fête qui, en fait, souffrent tant de maux.

ils sont trop fort...
attention aux ruptures d'anévrisme!!

"Il mourut, un soir, en revenant chez lui, de la rupture d’un anévrisme,
et, quand elle vit entrer le corps de ce mari enveloppé dans une couverture,
elle le regarda, ne pouvant croire à la réalité de cette délivrance, avec un
sentiment profond de joie comprimée et une peur affreuse de le laisser voir."

Bonjour cher Manuel14. Puisque de tout ce que peuvent m'apporter mes maigres connaissances de votre alliance tes critiques sont mes préférées, alors je te laisse une dernière fois l'occasion de les montrer

Je n'ai en stock je crois, rien qui puisse être court
Rien d'autre qu'un poème, comme je les fais toujours
Mais qui saura pour sûr, une dernière fois
Déclencher comme toujours, quelques commentaires durs
Ce que j'aime chez toi, pour châtier toutefois
Un homme qui offense ta belle littérature^^


Plus le poème promis (l'autre rubrique " poèmes " est introuvable) :



Aux nuages témoins, qui reprennent leur court
Qui partent en haut au loin, yeux humides et coeur lourd

Venant sur des terres étrangères pour eux
Les fresques du passé, craquelant sous leur yeux

Pour qui sont ces couleurs, si fades et vides de vie
Quand sous leur yeux hagards, retrouvent les vestiges
Un reste de mémoire, chamboulé aujourd'hui
Le temps faisant son oeuvre, ô merveilleux prodige

Perdu depuis longtemps, mais si vite retrouvé
Puisqu'alors devant nous le chemin s'entrouvrait
Le reste du sentier, parcours insignifiant
A changé pour l'histoire son allure d'antan :

Jungle souverraine, lianes expirantes
Souvenirs trompeurs d'une si longue attente
La forêt entière racontait les déboires
De ma courte existence, implacable mémoire

Rugissements malsain, pestilence incarné
Les rires moqueurs, de quelques bêtes immondes
Dans l'ombre du chemin, me cachaient du monde
Toutes ses beautés.

Parcouru toujours seul, cette noble compagnie
A fait fuir ces démons, qu'habritait seule la nuit.

Etranger je pensais, à mes yeux toujours gris
Mon visage figé, qui seul voyait la nuit
A ce doux changement accorda quelques égards
Ces nuages d'argents ont mis fin au cauchemar.

La brume s'est dissipée, laissant place au soleil
Enfin je peus du monde, admirer les merveilles.

Et puis vous êtes partis, peut-être pour toujours
En quelques autres lieus prodiguer votre amour
A une autre âme en peine, nécessitant vos soins
Désireux comme moi, de connaître tant de bien

Puissiez-vous revenir pour une autre raison
Mon impatience grandit, mais vous m'oubliez pas
Les sentiers boisés cachent d'autres poisons
Mais délié de mes fers, d'aussi piètres appas

Ne trouveront à mes yeux que quelques airs amusés
Avare de mon attention, pour ces basses lâcheté
Je saurai à mon tour moi-aussi les déjouer
Et faire de cette route une aimable traversée.

Mes rires étouffant la cruelle flétrissure
L'espoir ranimant, sous mes pieds la verdure
Je marche sans soucis, à gorge déployée
Ou du moins c'est ce qui, aurait dû se passer...


Adieux tous !

Bon, Tu t'es plus soucié de la rime que de la métrique, mais c'est ton choix. La construction de ton poème qui repose sur des distiques et des quatrains est un peu anarchique tout comme le sens général ce qui fait que, sur ce plan, j'ai plus apprécié ta courte introduction. Par ailleurs, j'ai remarqué la disposition des rimes qui change d'un quatrain à l'autre, tantôt embrassées, tantôt plates ou croisées. J'ai relevé les allitérations du quatrième distique et quelques bonnes sonorités. La dernière strophe n'est pas très heureuse.

Et puis toujours quelques fautes d'orthographes et des erreurs de ponctuation qui obligent à relire certaines phrases pour en apprécier le sens et cela rompt, dans certains cas, le charme.

Voilà une réaction du simple amateur que je suis.

Que veux tu dans ce temple des rimes
Elles sont vraiment nulles mes lignes...
Que je me sens tellement infime
Et je te laisse le chant du cygne.

Manu quand j'obtiens comme seule réponse
Le cliquetis de mon clavier et ton silence
cela me décourage plus vite que je ne le pense
et me laisse au fond de la gorge un gout rance.

???

Tôt ce matin, j'ai découvert
Non sans plaisir, tes tristes vers
Qui témoignent de ce goût rance
Que tu évoques dans tes stances.

Quand avec tous mes sentiments j'ai fait une liste
Les muses ne me chatouillent que lorsque je suis triste.
Comme j'aimerais pouvoir écrire en pleine euphorie
Mais elle est vermifuge et ne m'offre que pénurie !

Voilà des vers plutôt de cristal que de terre. J'apprécie, mais,

Si chacun de tes rêves tu vas explorer,
Tu verras que dans un désordre passionné
Les mots jailliront. Il reste à les calibrer,
Puis, la métrique respectée, les ordonner.

Tout alignés, trop bien rangés
Tel de petits soldats disciplinés.
A quoi bon construire des rimes ?
Est-ce vraiment un crime ?

Si je jette en pâture sur du papier glacé
Des farandoles de mots indisciplinés
Pour dire, mes peines ou ma tristesse
Pour écrire ma force ou mes faiblesses

J’écris comme je vis, sans rien respecter.
Je ne regarde jamais mes pieds, j’en pleurerais
L’anarchie de mes phrases m’amuse.
Bien sur, ce n’est pas drôle et souvent j’en abuse.

Alors dans une autre vie je serais poète.
Ne subsistera que les victoires, fini les défaites
Je gommerais toutes imperfections
Ses quelques lignes sont du poison

Mais je te demande pardon de ne pas savoir
Pourtant je sais qu’ici rien n’est dérisoire
A chaque faux pas, chaque erreur
Je me relève et me bat pour devenir meilleure.


Je ne recherche pas la prefection, j'en suis incapable .
Je plaide tout simplement coupable .

Un acrostiche pour le "fun" ;-)

Mais oui, tu as raison ! Allons, vivons que diable !
Est-ce normal toutes ces règles raisonnables ?
Recompter les pieds pour faire plaisir aux comptables ?
Dès à présent, repoussons ceux qui nous accablent
Et rendons la liberté aux mots non coupables.

Le jeu est donc terminé,
Enterrons le sans traîner.
Qu'on amène le cercueil !
Et que tous portent le deuil !

Le jeu est mort! Vive le jeu!

Je ne suis pas trés fort pour la poésie,
Mais tous ces mots dans ma tète dans une folle ronde
Dansent le rock, dansent le swing,
Pour exprimer sans rime le bonheur de t'avoir rencontré

Spleen
Altaïr, tu veux au jeu redonner la vie
Et pourtant d'une fin il est toujours suivi.
Alors n'est-il pas préférable d'arrêter
Et puis que chacun reparte de son côté ?

Si seulement la vie était un jeu
Alors ma tristesse ne serait que peu
Mais cela peut il prendre fin
Alors que nous avons faim
Des paroles adorés entre toute
D'une divine amie qui doute
Non je ne peux croire vraiment
Que soit une fin de notre amusement

"Bonheur de t'avoir rencontré", "Divine amie",
Altaïr, est-ce bien toi qui a inspiré
Zwentibold et Askalan, tous deux gentilshommes ?
Es-tu le Phénix des hôtes de ce forum ?