Poèmes et satires

Dans cette section, je vous propose de laisser libre cours à votre imagination débordante. Textes courts recommandés, citez vos sources s'ils ne sont pas de vous.

Que ton imagination
Soit fertile et bienséante,
Et de ta Muse abondante
Jaillira la discussion.

Que le doux amour qui t'anime
Soit pour moi source de vie
Car je n'aime point cet Abyme
Qui s'ouvre dans l'infini

A toi mon eternel amour
Sache que mon coeur vivra
Pour ton sourire glamour
A jamais dans la lumière d'Astoria

Heu, c'est à la mère Lulu que tu causes là ? ^^

(poèmes et satires )

Des poémes, nom d'un chien, ici sur ce forum ?
Troque ton thé à la menthe, contre un bon vieux rhum !
Et lache nous avec tes histoires de littérature
Viens avec nous te prendre une bonne bithure.

On a poutrer, Baudelaire et Manuel quatorze
Y a belle lurette, qu'ici c'est l'chaos, qu'il n'y a plus d'prose.
Alors au diable les sonnets , les quatrains et les vers
Les filles de la mére Lulu t'attendent pour prendre un verre.

Jeune Altaïr
Dont je sens l'ire,
J'ai lu tes vers
Et découvert
Ta jolie prose.
Là, j'ai ma dose.
Alors merci
Et bonne nuit.

J'hallucine il faut parler en vers !

Dans le lointain pays des Hors-la-loi
Il faut compter en pied sur ses doigts !

J'y crois pas le monde est à l'envers !


Sur le coup je ne suis pas peu fière
De vous présenter mes premiers vers ;
Je lance quelques petits teutons
Et je vais retrouver l'édredon !

(sinon juste un poème que j'adore à ne pas me lasser de le relire sans cesse : La métamorphose du vampire XD (âmes non majeures s'abstenir <====petit coup de pub^^))

Tiens voilà une énigme à résoudre...

"IL est un pays chez les égyptiens
Très loin de Bordeaux où les vers à pieds
se mesurent par douze, des alexandrins
mais une fois empilés, tout se met à boiter"

Saurez vous m'aider ?

mouarf
je pensais que la nuit me porterait conseil
mais ni la nuit ni le jour n'y ont changé quelque chose...

Sans vouloir l'énigme éluder,
Après un peu de réflexion,
Je n'ai vraiment aucune idée.
Alors, j'attends la solution.

O toi ma douce ivresse
Toi qui me caresse
Je m'abandonne dans tes bras
Et cela sans aucun embarra

D'une profonde noirceur
Tu as su toucher mon coeur
Et même si certain
Me traiteront avec dédain

Je te serais fidèle
Par delà le ciel
Je me sens si fort
Près de toi, ma Mort

Emene moi au plus profond
De se dédale sans fond
Que la lumière disparaisse
De ma vie en détresse

O toi douce Mort
Traversont ce port
Et naviguons ensemble
Sur la mer qui tremble

A toi ma douce et tendre
Que j'aime à pierre fendre
Je fut ton champion
Le temps d'avancer les pions

Sur cet échiquier vivant
Qu'est notre monde exaltant
Je t'ai peut être perdu
Mais je ne suis pas déçu

Car tu auras fait renaitre
Un sentiment bien traitre
Oui je t'ai vraiment aimer
Mais ne vais pas deseperer

Je ne peux que te remercier
De ta gentillesse d'acier
Sache mon chère amour
Que je penserais à toi toujours

Ca va ton moral Ask? Tu m'as l'air d'avoir un peu les idées noires toi.

Est ce une baisse du moral ?
Ou simplement penser à mal
Je ne suis vraiment sur de rien
Mais peut importe je vais bien

J'ai peut être les idées noires
Parce que je ne peux croire
Que tout est définitivement fini
Même si c'est ce qu'on m'a dit

Enfin toute façon peut importe
Je ne me suis pas pris une porte
Même si cela fait relativement mal
Je n'en serais que plus bestial
Envers nos ennemis de tous poils
Qui nous donneront leur os à moelle

Superbe la rime à l'os à moelle^^. Je suis contente de voir que tu reprends le dessus.

La "gentillesse d'acier" !
C'est plutôt original.
Chacun pourra apprécier
Un tel effort cérébral.

C'est la faute d'une méchante princesse

Le coeur cabossé, d'une chute d'amour
Forcément ça rend le coeur lourd.

Oublie la, et chasse vite cette tristesse .

Bah zut alors...

Bon...


Les trois premiers vers sont des décasyllabes, le 4ième est un alexandrin, d'où la strophe bancale... bon....

J'ai fait un four...

c'est pas un four, c'est trop puissant nous ça !

Partant du principe que l'on ignore la diérèse, les deux premiers vers sont effectivement des décasyllabes.

Mais :

Le troisième vers est un alexandrin :
se mesurent par douze, des alexandrins
-1-- 2- 3- 4-- 5----6--7- 8- 9-10-11-12

Le quatrième vers n'est pas un alexandrin, il compte treize pieds (tridécasyllabe) :
mais une fois empilés, tout se met à boiter
-- 1- 2-3-- 4-- 5- 6-7--- 8 - 9 -10- 11-12-13

En effet, toutes les syllabes doivent être comptées sauf lorsque :
- il s’agit de la dernière syllabe d’un vers et qu’elle est terminée par un e muet.
- un e muet est immédiatement suivi d’une voyelle à l’intérieur du vers.

Et c'était un petit cours de métrique de la part de notre ami Manuel.

Manu, tu as soit omis une règle soit un peu triché : tu ne comptes pas le e muet de "douze" alors qu'il n'est ni en fin de vers, ni suivi d'une voyelle.

Notons qu'en comptant cette syllabe le mot se retrouve maladroitement à cheval sur le vers ce qui gène la déclamation, et qu'en outre la virgule incite à aspirer la syllabe pour marquer naturellement la césure. Seraient-ce les règles manquantes ?

ils sont trop fort.....